Le bilan de compétences, la solution pour trouver sa voie
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Bilan de compétences : la solution pour trouver sa voie ?

Dans un monde où tout va très vite, il n’est pas rare de se sentir perdu, et de ne pas savoir quelle direction prendre quant à sa vie professionnelle. Trouver sa voie peut être l’une des quêtes les plus importantes dans une vie. Vous vous êtes sans doute déjà posé ces questions : “qu’est-ce que je veux faire plus tard?” “quel métier est vraiment fait pour moi?” “qu’est-ce qui me passionne?” … Le questionnement autour de ces sujets commence généralement dès les études, puis pour certains, continue tout au long de leur carrière. Il est tout à fait normal de se poser des questions sur son avenir professionnel. C’est à cet instant que le bilan de compétences intervient, pour vous guider à trouver votre voie ! Dans cet article nous allons explorer en détail ce processus et comprendre comment il peut changer votre vie.

Comprendre le bilan de compétences

Le bilan de compétences est un accompagnement qui va vous permettre de faire le point sur vous, et sur vos compétences professionnelles. Tout au long du bilan, vous serez amené à faire un travail d’introspection, apprendre à mieux vous connaître pour faire émerger une vision claire de votre avenir professionnel. Chez ABCP Compétences, nous plaçons l’humain au cœur de notre métier, et vous proposons un bilan de compétences unique, centré sur les personnes dans leur globalité, que nous vous présentons à la fin de cet article.

trouver sa voie grâce au bilan de compétences

Qui peut faire un bilan de compétences ?

Le bilan de compétences est ouvert à tous, peu importe votre situation professionnelle (actif, indépendant, demandeur d’emploi, jeune professionnel ou expérimenté). Il s’adresse à toutes les personnes qui souhaitent faire le point sur leur carrière et sur eux-mêmes, retrouver un équilibre et donner du sens à leur vie.

Je souhaite faire un bilan de compétences, comment je peux le financer ?

Il existe de nombreuses méthodes de financement pour le bilan de compétences. La plus courante est d’utiliser son CPF (Mon Compte Formation) pour suivre cette formation. Il est aussi possible de passer par Pôle Emploi, par votre employeur, son OPCO ou encore en utilisant vos propres fonds. Retrouver ci-dessous toutes les méthodes de financement possible pour réaliser un bilan de compétences.

Comment le bilan peut-il guider une personne à trouver sa voie ?

En plus d’un travail d’introspection et de recherches personnelles, vous serez accompagné par un professionnel avec lequel vous pourrez échanger durant votre bilan. Son rôle est de vous accompagner dans cette démarche en vous posant les bonnes questions et en vous guidant à travers les enjeux clés de votre cheminement, les sujets fils rouge de votre parcours de bilan ou se nichent les déclics à aborder. Nous avons identifié cinq grandes étapes qui vous permettront de trouver votre voie :

1 - Analyser votre demande

Pour quelles raisons souhaitez-vous réaliser aujourd’hui un bilan de compétences ? Quels constats faites vous de votre contexte, de votre situation professionnelle actuelle ? Et enfin, avez-vous déjà des idées, des volontés, des envies et objectifs liés à la suite de votre parcours professionnel ?

2 - Apprendre à (mieux) vous connaître

Le bilan va vous pousser à apprendre à mieux vous connaître en prenant le temps de comprendre votre fonctionnement, votre caractère, votre tempérament, votre parcours de vie, votre environnement social, vos valeurs, le fonctionnement de vos émotions, ce qui vous passionne, vous anime, tout ce qui vous a construit et fait partie intégrante de votre vie.

3 - Créer votre carte d'identité professionnelle

En vous servant de la matière travaillée dans les deux premiers modules, vous allez faire le point sur votre parcours professionnel, ainsi que sur votre relation au travail. L’idée est d’identifier les temps forts et faibles de votre parcours, les raisons de vos choix professionnels en prenant le temps de revenir sur vos expériences professionnelles ainsi que sur les compétences acquises, en cours d’acquisition, transférables et à développer. Puis, sur un volet davantage orienté psychologie du travail, comprendre votre relation au travail :

  • Quelle place a-t-il dans votre vie ?
  • Pourquoi travailler ?
  • Quelle est votre relation à la reconnaissance, au management, au travail d’équipe, etc.

Fort de ce travail d’introspection, vous allez alors pouvoir vous projeter sur de nouvelles perspectives.

4 - Faire émerger vos projets

Identifier des projets professionnels motivants et réalisables. Des projets qui donnent envie et qui sont tout à fait réalistes, avec plus ou moins de temps, plus ou moins de complexité, mais qui, au bout du chemin, sont atteignables via un plan d’actions clair et pragmatique. Un travail qui se fait grâce à la réalisation d’enquêtes métiers, une étape clé du bilan qui permet à la fois de faire le point sur chaque projet tout en se mettant en dynamique et en permettant de se projeter petit à petit sur les 2 à 3 projets retenus car cohérents avec l’ensemble du travail d’analyse et d’enquête terrain réalisée.

5 - Vous mettre en mouvement

Le bilan de compétences touche à sa fin et c’est le moment de réaliser deux étapes clés : faire le point sur l’ensemble du parcours réalisé grâce au livrable remis par votre consultant, la synthèse bilan, afin de mieux se rendre compte de l’évolution de votre réflexion et du cheminement réalisé pour définir vos nouveaux projets professionnels. Et réaliser votre plan d’action, un plan de route qui va vous accompagner jusqu’à l’atteinte de vos objectifs, jusqu’à la réalisation concrète de vos projets.

Notre point de vue

Chez ABCP Compétences, vous aurez la possibilité de choisir entre 3 formules de bilan de compétences pour trouver l’offre qui vous correspond. Pour vous assurer l’accompagnement le plus qualitatif possible, notre équipe est composée uniquement de professionnels du bilan de compétences, qui possèdent aussi la casquette de coach professionnel ou de psychologue du travail pour vous accompagner et vous guider à trouver votre voie tout au long du bilan de compétences.

Alors, prêt.e à vous lancer dans une nouvelle aventure ?

Créer son projet de vie
Équicoaching
CategoriesCoaching

Se développer grâce au cheval, une conviction familiale

ABCP compétences a été fondée par Muriel Gabory en 2007. Avant de devenir psychologue du travail, Muriel a pratiqué longtemps l’équitation et a élevé, avec son mari, des chevaux pendant plus de 10 ans. Elle a donc éduqué ses 3 filles dans ce cadre avec un contact particulier avec les poneys, les chevaux et les jeunes poulains (il y avait des naissances chaque année).

L’éthologie (science du comportement des animaux) a toujours fait partie intégrante de la famille qui, vivant au cœur du vignoble nantais, a toujours été entourée de beaucoup d’animaux.

« Évoluer au contact des chevaux a été une expérience très structurante et très apprenante pour moi. Le lien naturel que l’on peut tisser avec un cheval est très spécifique. Il y a des chevaux avec lesquels vous vous entendez très bien et d’autres où c’est plus compliqué. Chacun a sa personnalité. C’était comme une extension de ma propre famille. Savoir communiquer avec chacun d’eux, les comprendre et déceler leur potentiel pour un futur propriétaire a été très formateur. De là à utiliser ces compétences avec les Hommes, il n’y avait qu’un pas »Muriel Gabory

Avec ses filles, elle s’intéressera à l’approche de dressage américaine de Pat Parelli « Natural Horsemanship ». Une approche axée autour de la communication mutuelle, le respect et la confiance entre l’homme et le cheval. La personnalité du cheval est prise en compte afin de lui apporter la méthodologie qui lui est la plus adaptée. On privilégie alors toujours la communication et l’échange plutôt que l’entrave et la contrainte.

Pour communiquer avec un cheval vous devez alors utiliser un autre langage… celui des sens ! Le ton de la voix, l’intention du corps, votre énergie, vos émotions… Cela implique de prendre du recul sur soi, d’avoir de la patience et de bonnes capacités d’observation pour s’adapter au mieux à la personnalité que l’on a en face de soi afin d’atteindre, ensemble un objectif donné.

Le lien avec le monde de l’entreprise est évident ! Les qualités que l’on développe grâce au cheval sont ce que l’on appelle aujourd’hui les softs skills. Elles sont indispensables pour tout responsable, manager ou dirigeant qui souhaite guider son équipe dans une direction précise.

Témoignage d’Amandine Gabory, Coach professionnelle

« Je ne me rappelle plus exactement quand j’ai commencé à m’intéresser à l’éthologie. Je devais avoir 14 ou 15 ans je crois. J’ai dévoré les livres de Pat Parelli, des nouvelles approches américaines type « l’homme qui murmurait à l’oreille des chevaux » et je les aient mises en application sur de jeunes chevaux. J’ai énormément appris sur moi-même. Il m’a fallu une bonne dose d’humilité et de patience pour arriver à atteindre les objectifs que je m’étais fixés. J’ai dû développer mes capacités d’observation, d’écoute et de compréhension pour d’abord bien comprendre la personnalité du cheval en face de moi, son fonctionnement pour ensuite pour me faire comprendre.

Cela m’a obligé à prendre du recul sur moi-même et à commencer un travail introspectif qui va durer toute ma vie !

J’ai trouvé cela passionnant et je me suis dit que c’était un formidable apprentissage qui extrapolé au monde de l’entreprise, pourrait permettre aux manager de mieux communiquer avec leurs équipes, d’atteindre plus facilement leurs objectifs et surtout de diminuer drastiquement la souffrance au travail !

C’est pourquoi, 15 ans plus tard nous sommes ravis de pouvoir compter l’équi-coaching dans nos accompagnements ! »

softskills
CategoriesTravail

Les Soft Skills, les compétences douces

Que sont les Soft Skills ?

Les Softs Skills, autrement dit « compétences douces », s’acquièrent par l’expérience, les interactions sociales et une réflexivité individuelle. Ces compétences vous permettent de rentrer en interaction avec les autres et de gérer votre environnement.

Les SoftSkills sont aujourd’hui très regardées dans les recrutements car ce qui compte aujourd’hui, au delà des diplômes et des compétences « dures » d’un métier (qui s’apprennent avec la pratique), c’est les compétences comportementales.

Les compétences comportementales recherchées par les entreprises

Dans son rapport « future of work », le World Economic Forum fait état des compétences douces (SoftSkills) et donc comportementales les plus recherchées par les entreprises détaillées ci-dessous : 

La réflexivité, prisée en entreprise

La réflexivité consiste en notre capacité à se regarder agir et analyser cela. Être réflexif, c’est s’arrêter régulièrement pour faire le point sur sa façon de faire, de transmettre, d’agir : 

« Qu’est-ce qui se passe bien ? Qu’est-ce qui coince ? Pourquoi ? Qu’est-ce qui se passe en moi ? Comment réagissent les autres interlocuteurs ? … »

Ces questions permettent de remettre en perspective les mécanismes et permettent de prendre du recul pour être : 

1. Plus performant en apprenant de ses expériences

2. Encourager le bien-être au travail et l’optimisation des ententes relationnelles

3. Favoriser la reconnaissance et conscience de l’autre

4. Rebondir efficacement et rapidement en cas de rouages qui coincent

Pour développer la compétence douce « réflexivité », vous pouvez vous munir d’un petit carnet qui vous permettra tenir un carnet de bord de vos questionnements, les sujets irritants de votre journée. Premier bénéficie : vous pourrez réfléchir à la meilleur façon de traiter les problématiques en déchargeant votre tête.  Deuxième bénéfice, à la relecture vous pourrez voir vos axes de progression. 

Les SoftsSkills, les compétences douces

L'estime de soi

L’estime de soi, c’est notre capacité à aimer ce que nous percevons de nous-même. Le développement de l’estime de soi commence dès l’enfance et se construit avec l’attention, les retours de nos proches. En grandissant, cette estime est alimentée par les retours positifs, la reconnaissance de nos capacités et notre popularité. Ensuite, plus nous nourrissons des pensées positives à notre égard, plus notre estime de nous même est bonne. L’estime de soi est visible sur 3 pans : Comportementale (mes prises de risques), Cognitive (mes pensées positives et constructives à mon égard), affective (Sécurité interne et stabilité émotionnelle). 

Pour renforcer votre estime de vous-même, vous pouvez : 

1. Faire le point sur votre façon de vous percevoir (à l’aide des exercices sur les traits de personnalité)

2. Faire l’état des lieux de vos talents

La motivation

La motivation est ce qui va vous permettre de vous mettre en action. Plus votre motivation est grande, plus les choses que vous mettez en place vous semble simple. Dans le cas contraire, on procrastine (remettre à plus tard ce que l’on pourrait faire maintenant). Beaucoup d’entreprise ont mis en place des notions « d’intéressement » pour motiver les salariés, mais ça n’est pas si simple : 

La motivation, ça se cultive ! 

Pour comprendre les leviers de motivation, il convient de bien se connaître. Quels sont mes vecteurs de motivations ? Qu’est-ce qui me pousse à faire les choses ?  

La créativité

La créativité est ce qui favorise l’émergence de nouvelles idées. Contrairement à ce que l’on pense, la créativité n’est pas réservé aux artistes ou au domaine de l’innovation ! La créativité est partout et chez beaucoup de personne car la créativité peut être petite comme grande. C’est d’ailleurs une qualité indispensable pour préparer l’avenir et créer le monde de demain 🔥

En outre, our favoriser la SoftSkills de la créativité, on va pouvoir développer son intuition, son organisation et pourquoi pas avoir recours au BrainStorming, qui intègre l’idée la plus terre-à-terre à la plus réfléchie. 

L'adaptabilité

L’adaptabilité est, dans le monde actuelle et nos contraintes, une qualité extrêmement recherchée. Parce que de nouveaux métiers apparaissent, parce que les entreprises recherchent de plus en plus de potentiels aux multiples casquettes, parce que les crises économiques, sociales et sanitaires nous obligent à nous réinventer pour que tout puisse continuer à tourner… L’instabilité actuelle fait que cette compétences est LA plus demandée en entreprise. 

En définitive, pour développer cette faculté, il faudra réapprendre à apprendre pour se renouveler. L’adaptabilité passe aussi par le lâcher-prise en abandonnant la rigidité avec laquelle nous pouvons prendre les changements. Cette compétence nous demande de sortir de notre zone de confort et d’utiliser notre capacité à rebondir : La résilience.   

L'efficience et l'organisation

Préférer l’efficience à l’efficacité, c’est réduire les coûts en énergie, en temps, en émotions… BREF, l’efficience va plus loin que l’efficacité car elle atteint ses résultats tout en économisant ses moyens. C’est le juste ratio entre action, ressources et résultats atteints.

Cette compétences est recherchée par les entreprises car elle octroie une meilleure gestion de ses ressources. 

Pour la développer, il va falloir que vous identifiez ce qui vous distrait et vous empêchent d’être efficient dans vos tâches : Pensées/Stimulis divers/environnement de travail / Douleurs…Puis identifier vos attitudes dans le travail : Êtes-vous proactifs ? Organisé ? Méticuleux ? Procrastinateur ? …

Comment êtes-vous dans la prise de décision ? Rapide ? Lent ? Spontané ? Réfléchi ? Logique ? Approximatif ? …

La gestion du stress

Le stress, grand maux de notre époque. Stress positif ou stress négatif, à force d’être répété, ce combiné d’émotion de toutes sortes épuisent forces mentales et physiques. 

Les sociétés s’attachent à comprendre les « facteurs risques » du stress qu’engendre le travail : Pour identifier sa capacité à gérer son stress, on va pouvoir utiliser des outils tel que le test du burn-out de Maslach : https://www.mgfrance.org/images/utilitaires-medicaux/test-maslach_burn-out.htm

ou encore l’introspection. Qu’est ce qu’il se passe en moi ? Comment est mon corps (tendu, raide, flex…)? Dans quel environnement suis-je bien ? … Autant de question qui vont permettre de mieux se connaître. 

En conclusion, n’hésitez pas à vous faire accompagner, à vous poser des questions, et à vous exercer. 

L'empathie

L’empathie, ou la capacité l’art de mieux se comprendre. L’exigence de l’empathie consiste à comprendre ce que l’autre provoque chez soi, pour l’intégrer dans ses échanges avec celui-ci et ainsi être constructif dans le dialogue. Pour être empatique, il faut se comprendre soi. On revient quasiment toujours au même finalement : Connais-toi toi-même disait Socrate ! 

En somme, pour développer la SoftSkills de l’empathie, il va falloir prendre conscience de ses capacités d’écoute attentive, de sa capacité à poser les questions avec des questions que l’on pourrait qualifier de naïve, développer sa curiosité pour comprendre, découvrir, ressentir…, et pratiquer le silence. « Le silence est d’or et parle parfois plus que les mots. 

L'aisance relationnelle

L’aisance relationnelle, c’est la facilité que l’on a à interagir avec les autres. Par exemple l’art et la manière d’engager une conversation, d’aborder des points importants… L’aisance dans tout ce qui attrait à la communication. 

Cette qualité est très prisée en entreprise car elle permet aux équipes de créer du lien, de favoriser la cohésion d’équipe, de créer des échanges constructifs, engageants, motivants…

Donc, développer son aisance relationnelle, c’est avoir conscience :

  • du choix de ses mots : Se prêtent-ils au contexte ? Sont-ils exemptent de jugement ? 
  • de son langage corporel : est ce que j’envoie les bons messages avec mon corps ? Mes mots sont-ils raccord avec mon corps ?  

La coopération

Coopérer, collaborer… L’art du bien travailler ensemble. Travailler ensemble n’est pas chose aisée compte tenu du fait que nous ayons tous des cartes de vie différentes, des personnalités et des points de compréhension/vexation différents également. Il va falloir composer. Comme on dit : « Seul, on va plus vite, à deux, on va plus loin. »

Dans une entreprise, nous sommes rarement seul ! Le but est de pouvoir regrouper ses équipes autour d’un objectif commun : que la société tourne ! 

Finalement, développer sa coopération, c’est s’engager dans le projet, c’est échanger sur les difficultés que l’on rencontrent pour avancer ensemble… C’est oeuvrer pour le collectif. 

En conclusion, les SoftSkills sont donc des compétences douces dites comportementales et sociales qui se basent sur la connaissance de soi. Ces compétences, grâce à différentes techniques,  permettent à chacun de se questionner pour mieux s’adapter aux différentes situations professionnelles rencontrées. Un véritable atout pour les entreprises qui voient leurs collaborateurs devenir leurs meilleures versions. 

Dans notre Bilan de compétences, nous avons à coeur de vous faire prendre conscience de vos compétences douces, pour que vous puissiez capitaliser sur vos compétences déjà acquises et évoluer dans celles que vous souhaitez.

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Pourquoi cultiver l optimisme ?

Le monde d’aujourd’hui nous pousse souvent au pessimisme et à la perte de confiance en l’avenir : les médias et leurs longs discours anxiogènes ; les discutions au travail qui tournent souvent autour des problèmes de la société ; nos relations, enfermés dans les problèmes du quotidien à gérer… L’optimisme en vient presque à être perçu comme quelque chose d’anormal. Pourtant, il n’en faut pas beaucoup pour voir la vie autrement.

Il est temps de cultiver le positif dans nos vies !

C’est quoi l’optimisme ?

L’optimisme est une attitude mentale, qui permet de voir la vie du « bon côté ». C’est ce qui nous permet d’apprécier les événements du quotidien. L’optimiste a confiance en l’avenir, il a la conviction que, même en cas de difficulté il va s’en sortir. Winston Churchill illustre d’ailleurs bien ce propos avec une de ses célèbres phrases : 
« Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité ; un optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté. » –  
Si l’optimisme semble être un savoir-être à adopter et cultiver, concrètement, qu’est-ce que cela m’apporte ?
 

Les bienfaits de l’optimisme.

*    Un bien-être mental : Je ne tombe pas dans la plainte ni la complainte, et ne me laisse pas encombrer par les sombres pensées.
*    La motivation : L’optimisme réveille l’énergie, la curiosité, l’action… Le cocktail détonnant pour être acteur de sa vie  
*    La réussite dans tous les domaines : Entreprendre un projet n’est pas toujours chose aisée et oui, les phases de découragement sont nombreuses. L’optimisme me permet de me remettre en selle et ne pas abandonner. 
*    L’estime de soi : Je sais ce que je vaux, je me respecte et si je veux évoluer, alors je m’en donne les moyens
*    La gestion du stress : Si il y a une solution à mon problème, alors je n’ai pas à m’en inquiéter, et s’il y en a pas, alors à quoi cela sert de m’en faire ?
*    La satisfaction dans ses relations et de sa vie : L’optimisme nous apprend à s’accepter, et à être dans la « suffisance de ce que l’on a » plutôt que l’insuffisance, la comparaison, le dénigrement…
*    La sérénité et la confiance
 Au vue de tous ces bienfaits, on a bien envie d’y tendre à cet optimisme… Mais comment peut-on faire ? 
 

5 outils qui vous permettent de cultiver l’optimisme.

*    Noter dans un journal les événements positifs que vous avez vécus dans la journée ou les évènements positifs marquants de votre vie. Vous verrez, c’est comme vos propres qualités, la liste est longue ! 
*    Faites confiance aux autres et à la vie en général.  Dans chaque difficulté, il y a quelque chose à regarder, à apprendre, à comprendre 🙂
*    Fixez-vous des objectifs qui ont du sens pour vous et surtout qui sont atteignables ! La méthode des petits pas (petit à petit) vous évitera le découragement et à chaque objectif atteint, vous prendrez confiance en vous.
*    Agissez comme si tout était possible ! Les succès stories n’ont pas de secrets : un capital chance, peut être, mais surtout beaucoup d’investissement, de temps morts, de découragements, d’échec… Mais une volonté, un foi en soi et en son projet à toute épreuve ! 100 des gagnants ont joué !
*    Choisissez votre scénario ! Nous sommes tous exposés aux mêmes informations, aux mêmes discours… Libre à nous de comprendre, de se raconter les histoires négatives qui ressortent de ces informations reçues. L’optimiste en retire le positif tandis que le pessimiste retire le négatif.
 
Y a t-il un outil qui vous inspire plus qu’un autre ? En utilisez-vous déjà certains ? En avez-vous d’autres ?
N’hésitez pas à partager avec nous en commentaire !
Le mot optimisme vient du latin « Optimus » ce qui signifie « meilleur »
—–> Allez chercher le meilleur dans chaque situation.
Alors, prêt à  cultiver votre optimisme ?

 

 

La confiance en soi
CategoriesConfiance en soi

NB : A chacun son rythme !

On nous apprend et nous demande, depuis tout jeune, d’être toujours « au taquet », d’être énergique, d’être éveillé… Car ce sont ceux-là qui réussissent ! On nous martèle aussi que pour atteindre ses objectifs, il faut soigner son hygiène de vie « l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt », qu’« Il faut travailler dur pour réussir » sous entendu d’arrache-pied, des dizaines d’heures par jour…Que c’est soit la carrière, soit la famille… Et combien d’autres idées dans ce genre… Alors on essaie… On s’en approche… Et parfois on se rend compte que l’on ne peut pas ou plus. Ces dictons, ces carcans ou encore croyances ne prennent pas en compte l’unicité de chacun. Nous fonctionnons tous de façon différente et si une méthode marche pour l’un, pour plusieurs même… Elle peut ne pas marcher pour vous. C’est pour cela qu’il est utile de se connaître.
 
Connaissez votre fonctionnement
Connaissez-vous les horaires où vous êtes le plus performant et ceux où vous l’êtes moins ? Il est possible de déborder d’énergie sur un court terme, mais la plupart du temps, cela se joue sur quelques heures de la journée, alors autant savoir quand les saisir !  Pour certains, c’est le matin ou le midi et pour d’autres le soir. Faites le test sur les journées de la semaine prochaine ! Vous pourrez ainsi réserver vos heures de non performance à des tâches rébarbatives qui ne demandent que peu d’énergie (trier ses mails ou la paperasse…) et  consacrer vos heures de créativité aux les tâches qui vous demandent de l’énergie, de la réflexion et de l’investissement. Et si un jour, vous n’avez l’énergie de rien, ce n’est pas grave, n’en faites pas un problème !
Ne culpabilisez pas
Certains jours, vous pouvez connaitre la flemingite aigüe. Vous n’arrivez pas à vous concentrer, vous avez du mal à vous y mettre… Mais  cela ne fait pas de vous un looser, un mauvais ou tout autre qualificatif non approprié :). Il est parfois nécessaire de se laisser le temps et de s’écouter. Dans nos quotidiens à 1000 à l’heure, prendre le temps de se ressourcer et de se mettre sur pause n’est pas un luxe, c’est obligatoire ! La période que nous traversons n’est pas évidente car elle nous contraint et change nos repères. L’atmosphère de travail dans laquelle nous avions l’habitude de nous fondre est maintenant mixée, pour nombre d’entre nous, avec l’atmosphère de la maison, celle qui d’origine nous aide à décompresser et déconnecter. Nous vous conseillons dans ce cadre de vous aménager des endroits vous permettant de scinder les deux atmosphères (Cf voir notre article sur le télétravail !) et surtout de ne pas vous fustiger en cas de coup de mou ! Il fera jour demain ! Si vous connaissez des façons de regagner cette énergie, alors mettez les en place !
 
Rechargez-vous
Faire acte de présence sur une chaise devant un ordinateur n’a jamais fait avancer le schmilblick. Ça amène d’ailleurs plus de découragement qu’autre chose ! Dans ces moments là, quand vous sentez votre motivation dans les chaussettes, faites une activité qui vous recharge ! Regardez une série, lisez un chapitre (ou 3) du livre que vous dévorez, faites du rangement, aller marcher avec ou sans votre chien si vous en avez un, ouvrez les fenêtres et aèrez les pièces, faites du sport, cuisinez, jouez et passez du temps avec vos enfants si vous en avez, reposez-vous avec votre chat ou autorisez-vous à buller un peu tout simplement ! À trop forcer, on finit par casser. Ce qui peut nous casser, voir nous saboter, tout aussi durement, ce sont nos pensées envers nous-mêmes. 
Transformez vos pensées
7.000 pensées par jour… Oui vos pensées sont omniprésentes ! Et généralement moins bienveillantes quand il s’agit de vous-même. Si vous sentez votre pensée s’emballer et vous tirer vers le bas, renversez la balance. Remplacez les verbes ! « Il est trop tard. » Non, il est encore temps ! « C’est impossible ! » Et pourquoi ça n’arriverait pas ? « Ça n’arrive qu’aux autres… » « Ça m’arrivera si je le décide !  Entendez  ce qu’elles ont à vous dire mais ne prenez pas au pied de la lettre les mots qu’elles déversent. Si vous devez vous comparer à quelqu’un, comparez-vous à vous-même, la personne que vous étiez hier ! Demandez-vous aussi si ces pensées ne relatent pas des croyances issues de vos carcans d’éducation. Demandez-vous aussi si ces pensées sont justes, ou si elles ne contribuent pas au fait de vous sentir encore plus mal. Redressez la barre, et soyez juste et bienveillant envers vous car vous le méritez.
On est libre de prendre ou non ce que l’on met sur notre chemin. On est libre d’écouter et de garder ce que l’on dit de nous. On est libre de remettre en question ou non ce que l’on nous inculque, ce que l’on nous apprend. On est libre d’être soi et de respecter son fonctionnement. On est libre d’assumer son fonctionnement et de ne pas le brimer sous couvert du « qu’en dira t-on ? ».
Et vous ? Êtes-vous bienveillant envers vous-même ? Que faites-vous pour vous connaitre mieux ? 
 
 
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Profitez de ce break imposé pour trouver votre voie

Pendant ce break imposé il y a deux écoles

Les personnes qui se sentent comme des lions en cage, regardant tristement par la fenêtre en pensant de façon nostalgique à leur vie d’avant avec pour seul rêve, le jour où tout cela sera terminé et que l’on pourra à nouveau s’embrasser, sortir dans les rues et se ruer dans les bars afin de profiter d’une pression fraîche et amplement méritée ; et ceux, qui en profitent pour vivre leur meilleure vie !


Alors bien sûr, nous ne sommes pas tous à égalité face à ce confinement. Certains sont dans des 20m2 sous les toits de Paris, d’autre dans des appartements trop petits avec des enfants enthousiastes et pleins d’énergie ou encore en télétravail avec un boulot tellement prenant que finalement, confinement ou pas, le temps que l’on pourrait s’octroyer, on ne l’a pas vraiment.

Un break imposé ou un break espéré ?

Mais si vous pouvez, si vous avez le temps, essayez de leur prendre pour vous offrir cette pause inespérée dans le tourbillon de votre vie. Car il reviendra bien assez vite ce tourbillon, avec son lot d’inquiétudes et de soucis quotidiens. Alors aujourd’hui, si vous le pouvez, prenez ce temps comme un cadeau. Prenez le temps de vous inscrire dans le moment présentVous avez de la chance, c’est LA grande tendance du moment !

Ne pensez pas au passé qui est terminé et que l’on ne peut pas changer. Ne vous angoissez pas pour le futur et pour des choses qui, peut être, n’arriveront jamais. Car rien n’est certain.

La seule certitude que vous puissiez avoir, c’est celle que vous vivez à l’instant T, alors que la minute d’avant appartient déjà au passé et que celle qui suit est encore dans l’avenir.

Et si vous en profitiez pour respirer, vous écouter et faire un petit break ?

Notre société nous pousse à être toujours extrêmement actifs, c’est mal vu de prendre le temps ou de ne rien faire. On culpabilise, on croit que c’est bien d’être en permanence occupé et productif. Vous pensez perdre votre temps en regardant un film, en prenant un bain ou en écoutant tranquillement votre musique préférée sur le canapé ? Pas du tout ! C’est lorsque votre corps et votre esprit se détendent que les plus belles idées vous viennent à l’esprit.

Ecoutez vous, écoutez votre corps et ce qu’il vous raconte ! 

La plus part des difficultés que l’on rencontre proviennent de la dualité que l’on impose au corps et à l’esprit (burn out, sciatique, maux de tête, stress, épuisement chronique, dépression…). Prenez l’habitude de vous écouter pendant quelque minutes : « de quoi mon corps as-il besoin maintenant ? ». D’un bon footing pour se défouler ? D’un bain pour se détendre ? D’une petite balade dans les bois ou encore juste d’une tasse de thé en étant bien installé dans le canapé ? Prenez le temps de vous écouter afin d’être en alignement avec vous même. Le Yoga et la méditation peuvent vous y aider. Cela vous permettra petit à petit de faire la différence entre le « je dois » et le « je veux ».

Repensez à la petite fille ou au petit garçon que vous étiez jadis

Quels étaient ses rêves ? Ses envies ? Qu’aimait-il/elle comme matière à l’école ? Qu’est-ce qui la/le faisait rire et lui apportait du bonheur ? Aviez vous une passion (que vous avez enfouie au fond de vous)  et que vous n’avez plus ?

Ecoutez votre voix intérieure

Vous savez, la petite voix au fond de vous que vous n’écoutez plus depuis trop longtemps au profit d’une pression extérieure (sociale, familiale, hiérarchique…). Qui vous a dit que vous ne pourriez pas vivre de votre passion ? Qui vous a dit que quitter son job c’était une folie ? Qui vous a dit que pour réussir sa vie il fallait avoir un CDI bien rémunéré et enchainer les promotions ? Si vous êtes en adéquation avec cela c’est bien ! Si non, c’est qu’il est temps de changer quelque chose…

Visualisez la vie de vos rêves ! 

Les sportifs utilisent la technique de la visualisation depuis longtemps ! Mais d’abord, il vous faut vous demander ce que vous voulez vraiment. Et ça, ce n’est pas ce qu’il y a de plus facile… Nous sommes souvent bloqués par la peur de l’échec, la peur de l’inconnu, nos fausses croyances, la peur de décevoir des proches ou de ne pas répondre aux attentes qu’ils pourraient avoir de nous (qui sont parfois uniquement dans notre tête). Ce sont souvent ces freins qui nous empêchent de savoir ce que l’on veut vraiment.

Prenez le temps de respirer.

Fermez les yeux et demandez vous : « si je n’avais aucune contrainte, que j’étais seul au monde, que voudrais-je faire de ma vie » ? Laissez les réponses arriver sans jugement, sans les analyser. Et lorsque vous ressentez un sentiment d’apaisement ou de bien être, c’est que vous êtes sur la bonne voie. Prenez un petit carnet et notez vos idées et vos ressentis. Cela vous permettra d’avoir un regard plus objectif sur vos idées.

Prenez votre courage à deux mains et affrontez vos peurs. Ce sont souvent celles-ci qui nous paralysent et nous empêchent d’avancer.

Et si vous avez besoin d’aide, n’hésitez pas à vous faire accompagner ! 

Si vous être autonome, tournez vous vers les formations à distance mais si vous avez besoin de contact, rapprochez vous de conseillers en évolution professionnelle, en bilan de compétences ou alors offrez vous les services d’un coach !

Comme le dit l’adage, « seul on va plus vite mais ensemble on va plus loin ! »

 

De belles énergies sont à l’œuvre en ce moment et l’heure est au changement. Suivez la mouvance et profitez en !

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Nos 6 conseils pour couper avec son travail !

Vous êtes en weekend, vous avez posé une RTT, vous partez en vacances… Vous les avez attendues ces pauses, vous avez compté les jours…  Car vous aviez bien besoin de vous reposer et de changer d’air… Oui mais voilà, ça turbine dans votre esprit : « Et si ce fournisseur… » « Il faut que j’appelle M. X pour ce dossier… » Votre esprit est toujours au bureau, déjà dans l’anticipation de votre retour… Il va falloir changer tout ça et couper pour vous ressourcer ! Nous vous livrons nos 6 conseils pour couper avec son travail dans cet article !

Pour être plus performant et avoir les pensées claires, il est important de couper et de prendre un temps relativement long pour se ressourcer en profondeur… Nous allons découvrir ensemble qu’il y a bien des façons de penser à tout pendant son weekend, son day-off ou ses vacances, tout, sauf à son travail. 

Comment ça marche ? 

Déconnecter, c’est ranger son cerveau « work » dans sa petite boite et ressortir son cerveau « Have fun ». 
Il faut dire qu’en plus du travail qui peut être stressant, nous avons, pour la plupart d’entre nous des contraintes qui nous incombent : Faire les courses, faire le diner, ranger, s’occuper des enfants… Notre cerveau est en parfaite ébullition car il faut être partout, penser à tout… Et entendons-nous bien, cette routine répétitive, en plus des tourmentes du travail qui nous assaillent, peut finir par éteindre notre petite flamme de folie que nous avons quand nous effectuons une activité qui nous anime, qui nous amuse… !
Donc, déjà ce que vous pouvez faire c’est :

1- Une TO-DO-LIST

S’organiser, c’est le point de départ pour bien s’y retrouver. Le fait de visualiser ce que vous avez fait pendant la journée vous permet de voir que vous n’avez pas chaumé, que vous avancez dans le travail. Alors certes, il en reste encore… Mais vous continuerez d’avancer aussi à votre retour. Rome ne s’est pas faite en 1 jour, votre projet non plus ! 
Vous me direz « Oui mais j’ai un impératif de dead-line ! » : Tout va se faire… Posez les choses calmement, pour éviter de brasser de l’air en vous agitant dans tous les sens. De toute façon, que vous y pensiez et stressiez fera t-il faire avancer le projet ? Non, pas plus que votre façon de vous culpabiliser ou auto-flageler « J’aurai dû faire ça… » ! 
Ayez confiance en vous !

2- Occupez votre esprit avec une activité vous faisant être dans le présent

Occuper votre esprit avec des jeux (Sudoku, Candy crush, Mots-fléchés, Cherchez l’intrus…) qu’ils soient visuels, auditifs ou encore de stratégies. Votre esprit met en place toute sa force mentale sur la résolution de vos défis. 

3- Respirez, ressentez

Soyez à l’écoute de votre corps. Que vous dit-il ? Pourquoi se met-il dans cet état ? À quoi cela vous renvoie : La peur de perdre travail ? La peur de l’échec ? La peur d’être un raté si vous n’arrivez pas à solver votre travail ? …. Il faut remettre les choses à leur juste place et vraiment travailler sur le fait que le travail, c’est une obligation dans notre monde, mais cela ne tient qu’à nous de nous ruiner la santé pour celui-ci. Et non, ne pas stresser ne veut pas dire que l’on travaille en dilettante ! 

4- Déléguez 

Lorsque l’on part quelques jours et que l’on laisse nos précieux dossiers dans les mains d’une autre personne, qui n’a pas forcément la même manière de fonctionner et de travailler que nous, ça peut être stressant. Mais il faut faire confiance ! Cette personne travaille à vos côtés et avec vous, pas contre vous. Si vos directives sont claires et la passation claire, il n’y a  pas de raison que ça se passe mal !

5- Entretenez de bons rapports

Nous passons plus de 80% de notre temps avec nos collègues, que certes nous ne choisissons pas. Il faut donc installer une bonne entente, sans confondre la sphère privée et la sphère travail. On peut entretenir de très bons rapports sans s’étendre sur notre vie privée non ?!

6- Savoir gérer ses priorités

Avoir une belle carrière, poursuivre des évolutions… Le travail est le marqueur social de notre temps. Or doit-il se faire au détriment de sa vie privée ? Est-ce vraiment dans le travail que l’on trouve un plein épanouissement ? Vous seul pouvez répondre à cette question. Chacun sera en mesure de prioriser les domaines qui sont importants pour soi. Gardons juste en mémoire que notre passage sur terre est rapide, donc il vaut mieux être en accord avec ce que l’on vit !
En somme, cultivez un bon équilibre de vie, ne vous mettez pas la rate au court-bouillon et faites vous confiance !

Si vous souhaitez être accompagné sur la thématique du lâcher-prise pour apprendre à bien compartimenter votre vie, n’hésitez pas à prendre RDV avec nos équipes afin que nous puissions discuter des perspectives que ce lâcher prise peut engendrer chez vous. 

Venez en discuter avec nous : 

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Comment réseauter efficacement ?

Le réseau est le 2ème canal le plus utilisé par les recruteurs pour rechercher un futur collaborateur. Ce fameux «marché caché» est donc un biais incontournable à optimiser lors de votre recherche d’emploi. De nos jours, les réseaux sociaux lui donne une nouvelle dimension mais comment faire pour développer son réseau physique et virtuel ?

Déterminer son objectif réseau parmi ces 7 exemples

1. Recueillir des informations (secteur d’activité, entreprises…) et mieux se positionner
2. Identifier des personnes ressources, susceptibles de vous mener à l’emploi
3. Se faire connaître
4. Rencontrer des professionnels et remplir votre agenda
5. Partager des expériences, conseils, découvrir les réalités du terrain en vue d’une réorientation
6. Rencontrer des futurs partenaires dans une perspective de collaboration (création d’entreprise, synergies…)
7. Montrer votre dynamisme et votre persévérance
N’oubliez pas que l’état d’esprit qui préside le fonctionnement du réseau est le principe de l’échange gagnant-gagnant de professionnel à professionnel qui repose sur la confiance et le partage.

Constituer son réseau de base

Cette liste constituera votre Fichier contacts qui sera la base de votre travail de réseautage. Pour cela, listez les personnes dans votre carnet d’adresse en lien avec votre objectif professionnel (amis, famille, voisins, anciens élèves, associations, parents d’élèves, loisirs, ex collègues, ex employeurs, formateurs, commerçants, entrepreneurs…)

Préparer ses rencontres réseaux

Préparez votre PP2M (présentation en 2 minutes). En entretien réseau, il est crucial de pouvoir vous présenter de manière brève et impactante.
Structurez cette présentation en 4 parties : état civil, métier, parcours professionnel et objectif. Utilisez des verbes d’action et mots clefs relatifs à votre secteur d’activité. Lisez-la à voix haute car il faut qu’elle sonne bien à l’oral et testez-la auprès de votre entourage. Répétez la pour gagner en fluidité et essayer de vous en détacher au maximum pour conserver une certaine spontanéité. N’oubliez pas de vous chronométrer pour vérifier le respect du format court (2 minutes).
Votre PP2M en tête, rendez-vous sur des événements professionnels en lien avec votre secteur d’activités : journées portes-ouvertes, salons, cocktails…
Pour en savoir plus, visualisez notre vidéo présentant la PP2M sur notre Chaine You Tube : ici

Réseauter en ligne

Même si rien ne remplace la rencontre physique, internet est un moyen précieux pour être mis en relation et vous présenter auprès de personnes influentes, sur votre secteur, que vous ne connaissez pas.
Inscrivez vous sur :
– les réseaux généralistes (facebook, instagram, copains d’avant…) 
– les réseaux professionnels (viadéo, linkedIn…) Mettez en ligne votre profil, agrémentez le avec des liens vers vos réalisations, des recommandations… et recherchez des contacts professionnels en lien avec votre activité.
A vos marques, prêt, réseautez et n’oubliez pas : «Seul, on va plus vite. Ensemble, on va plus loin.»
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